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    • Moi, je mange avec les doigts, parce qu'avec les couverts on s'en met partout.

    • Moi, je ne ferme pas les portes car tout le monde les ouvre quand même.

    • Moi, je bois avec les pieds parce que je n'aime pas avoir les mains mouillées.

    • Moi, je lis les livres à l'envers parce que je ne comprends pas l'histoire

    • Sur mon vélo, je pédale avec les mains parce que sinon j'abîme mes chaussures.

    • Moi je préfère discuter avec mon chat plutôt qu'avec mon frère parce qu'il ne me contredit jamais.

    • Moi je joue au foot avec les mains parce que j'ai les pieds fragiles.

    • Je préfère les cercles carrés aux cercles ronds, parce qu'ils sont plus faciles à ranger.

    • Mon père préfère que j'aie des mauvaises notes plutôt que des bonnes parce qu'il aime me faire des reproches.

    • Moi, je ne parle jamais parce que je n'aime pas être interrompu.

    • A table, je me sers toujours le premier. Comme ça je peux choisir le plus petit morceau.

    • Moi, j'aime manger de l'ail et de l'oignon, parce que ça masque ma mauvaise haleine.

    • Moi, je chante avec le nez parce que je n'ai pas de bouche.

    • Moi, en classe je lève le pied quand je suis occupé à écrire.

    • Classe de 6°3 et 6°4

     

     

     


  • Une horloge demande à une montre : quelle heure est-il ? Mais c'est un chat qui répond, et il dit : - J'ai traversé une longue histoire, je ne sais plus quand, ni où était Londres en Champagne. Les Alsaciens de New York s'en souviennent : Jules César est un jeune fleuve qui se jette dans l'océan Cochonique (autre nom de la nage indienne, celle que pratiquent en flottant dans le vide les extra-terrestres, bébés nageurs des étoiles. Il est vingt-cinq heures de l'après-minuit...

    Classes de 6°3 et 6°4


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    L'homme se casse le pied, car il lit des contes. Il s'en fiche puisqu'il marche sur les mains. La femme au contraire répare l'enfant qui cuisine chez son médecin chaque mardi matin car il invite les pompiers pour manger de l'eau, puisque les incendies de piment se multiplient en automne.

    Certaines fois, un dentiste surgit, du carambar entre les dents, qu'il nettoie avec des betteraves : c'est la fête.

    Il y a de l'ambiance. La musique montre ses muscles. Le capitaine Pinpon danse et soudain glisse sur l'échelle et le toboggan des desserts. La marchandise, qui venait du Pôle Nord, est perdue. L'ours blanc n'en mangera pas une miette.

    L'enfant du docteur est content de fêter ses cinq cents ans. On le prend parfois pour un vampire mais ça ne le dérange pas. Quand il crie, son cercueil déménage et ses dents tombent. Son chien poursuit la barquette en bois de fraise à l'ail, croyant que c'est une confiture qui s'envole. Il s'essouffle et tombe dans le cadavre exquis.

    Classes de 6° 3 et 6°4

     

     






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